Les grands fondements de la religion Hindou reposent sur la relation de L'Atman et du Brahman, Le Dharma et le Sacrifice.
Le Brahman représente l’âme universelle, l'Absolu transcendant.
L’âtman représente l’âme individuelle, le Soi.
Il n’a pas une séparation d’avec le corps physique aussi marqué que dans nos conceptions. L’atman inclue aussi la connaissance et les sensations. (Relation avec le « manas », sens interne régissant les facultés mentales.) Il y a transition continue sans réelle différence de nature. Il y a le corps grossier (matériel) et le corps subtil (le souffle vital…). L’âtman est le support des résultats du Karman (somme des bonnes et mauvaises actions)
La recherche d'une union entre l'âme (l'Atman) et l'absolu (le Brahma) est un fondement majeur de la religion Hindou. L’atteindre correspond à une extinction de l’âme : La Moksa (Nirvana chez les Bouddhistes)
L’un des grands principes de l’hindouisme consiste à affirmer que le microcosme (l’être humain) est identique, en quantité comme en qualité, au macrocosme (l’Univers). Pour l’hindou, l’être individuel qu’il a conscience d’être, a le même degré de réalité que le monde qu’il a conscience de percevoir.
« Ce qui est dans le monde est dans le corps et ce qui est dans le corps est également dans le monde »
Support de la religion Hindou, le Dharma (le support) est la Loi naturelle qui permet à la société humaine de fonctionner harmonieusement et de se maintenir à travers le temps, à condition de se fonder sur des lois physiques qui sous-tendent l’univers et l’empêche de s’effondrer dans le chaos.
Il définit les droits et devoirs de chacun, pas individuellement car l’individu n’est pas un but pour lui-même, mais selon son statut (marié, célibataire..) sa caste, son âge… Les lois qu’il énonce sont porteuses de paix, de concorde et de prospérité qui s’identifie à la justice.
Du Dharma découlent trois buts de l'existence pour chacune des trois castes pures :
Il n’y a pas de liberté individuelle sauf dans le dépouillement (le non acte). Les Renonçant, ou Sâdhu, sont les représentants des personnes qui font ce choix.
Le dharma exige de chacun l'accomplissement de certains devoirs selon la position qu'ils occupent dans la société. Le respect rigoureux de ce code moral offre l'espoir d'une meilleure réincarnation, mais peut expliquer le fatalisme de certains individus devant la misère et la mort.
Dans l’Inde antique, le sacrifice constituait le pilier de la croyance et du rituel. Le Rig Véda décrit précisément les règles à observer pour le sacrifice et en apporte les significations. Cela serait une erreur de penser que le sacrifice avait pour unique but de se concilier les forces de la nature et d’en tirer des profits
Une minorité se définie dans un contexte, non de manière absolue. Elle peut être analysée par rapport à de la population d’une nation, d’une zone géographique, du point de vue des religions, des langues, de la culture ou de la race, de la couleur de peau, des liens de parenté…
L’appréciation en est variable selon le lieu et l’époque.
La supériorité du nombre est vue comme une hiérarchie, une supériorité de la majorité. Dans l’histoire il est peu d’exemple de minorités qui n’aient pas été marginalisées, persécutés, assimilés de force, voire physiquement éliminées.
La minorité ne l’est cependant pas toujours en nombre. Le colonisateur considéra souvent les indigènes comme des races inférieures.
La constitution des états nation moderne à souvent contribué à les révéler et à en aggraver le sort par rapport à la relative tolérance observée autrefois par les Empires. (Comme l’était les Ottomans ou les Austro-Hongrois par exemple)
La définition des minorités dépend des stratégies de la minorité elle-même, soit par son rôle géopolitique, économique, culturel. (Les juifs, les Arméniens,Touareg…)
Une minorité est aussi une catégorie sociale définie par discrimination : les homosexuels, les femmes, les gens du voyage.
Processus sociaux, créé par opérations volontaristes.
Les religions, les langues, le patrimoine culturel sont des éléménts participants au développement humain.
Le Développement humain en économie est un facteur du développement des sociétés. L'Indice de développement humain (IDH) permet de l'évaluer
L'indice de développement humain (IDH) est un indice statistique composite, créé par le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) en 1990 pour évaluer le niveau de développement humain des pays du monde. L'IDH se fonde sur trois critères : le PNB par habitant, l'espérance de vie à la naissance et le niveau d'éducation.
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