Les langues sinitiques,font partie du groupe sino-tibétain et comprennent sept sous groupes : chinois du nord ou mandarin, xiang, gan, wu, min, kejia (hakka), yue (cantonais)
Les langues sinitiques, également connues sous le nom de langues chinoises, constituent une famille de langues parlées en Chine, à Taïwan, à Singapour, en Malaisie et par les communautés chinoises dans le monde entier. Voici quelques-unes des langues sinitiques les plus importantes : Mandarin : Il s'agit de la langue officielle de la République populaire de Chine, de Taïwan et de Singapour. Le ...
Le mandarin, est une catégorie des langues chinoises parlée dans le nord et le sud-est de la Chine continentale. C'est celle qui compte le plus grand nombre de locuteurs dans le monde. Il s'écrit au ...
Bien qu'unis par leur tradition, par les caractères écrits de leur langue et par plusieurs traits culturels, les Han parlent plusieurs dialectes mutuellement inintelligibles et présentent des ...
Les protolangues d'Asie orientale Les protolangues ou branches, regroupent les familles de langues et langues principales comme suit: Sino-tibétaines Austroasiatiques Tai-Kadai Hmong-mien (Miao-Yao) ...
Le groupe Daic est le plus souvent appelé Taï En Asie du Sud-est continental, les familles ethnolinguistiques y sont au nombre de quatre: austronésienne, austro-asiatique (Mon Khmer), TAI ...
Le terme individualisme sert à désigner toute théorie, doctrine ou attitude qui consiste à privilégier les intérêts, les droits et les valeurs de l'individu par rapport à tous les groupes sociaux, que ce soit la famille, le clan, la corporation, la communauté, la société, etc. L'intérêt individuel est considéré comme supérieur à l'intérêt général.
Fruit d'une pensée, élaborée depuis la Renaissance, l'individualisme est un projet de société dans lequel chacun devrait trouver les meilleures conditions de sa réalisation et de son épanouissement.
En politique, l'individualisme accorde la primauté de l'individu, à l'initiative privée et souhaite réduire l'Etat au strict minimum (libéralisme, libertarianisme), voire à rien (individualisme anarchiste). Il s'oppose au nationalisme, à l'étatisme, au socialisme, au collectivisme, au communisme. Il peut aussi s'opposer à la démocratie si elle amène à prendre des décisions qui soient contraires aux intérêts individuels.
En sociologie, l'individualisme met en avant les droits et les responsabilités de l'individu, considérant que les institutions sociales n'existent que pour le bien de l'individu. Il s'oppose au conformisme, au panurgisme.
L'ethnologie (ou anthropologie sociale et culturelle) est une science humaine qui relève de l'anthropologie, et dont l'objet est l'étude explicative et comparative de l'ensemble des caractères sociaux et culturels des groupes humains « les plus manifestes comme les moins avouées »
Fondements et objectifs de l’ethnologie
L'ethnologie s'inscrit dans le vaste paysage des sciences humaines. Elle s’appuie sur des études ethnographiques que réalisent les anthropologues.
Cette science récente, moins de deux cents ans, a son origine dans les découvertes des peuples consécutives à l'expansion coloniale des pays occidentaux. Il en est sorti une connotation impérialiste de ségrégation des populations entre civilisée et primitives. Schématiquement, les activités de la sociologie au sens large se répartissent entre l’Ethnographie qui concerne les ethnies primitives et la sociologie qui concerne les peuples « dits » civilisés
À la fin du XXe siècle, cette approche dévalorisante a évolué vers une décomposition où l’Ethnographie (ou anthropologie sociale) concerne une analyse qualitative de l'observation des peuples sur le terrain et la Sociologie concerne l'analyse quantitative basée sur une étude statistique et globale des populations
Les principaux aspects sociaux étudiés au cours des recherches ethnographiques concernent les relations de parenté, le rôle des ancêtres, la connaissance des langues et de la linguistique associée, et l’identification des groupes ethniques.