Les Mérinas (dénommés aussi communément les Merns) forment un peuple occupant la partie nord des hautes terres centrales de Madagascar, gravitant autour de la région d'Antananarivo.
Merina désignait également un royaume des hautes terres centrales à l'époque féodale malgache devenue la province de l’Imerina.
Merina signifie : « Ceux du pays où la vue est étendue ». Ils sont aussi appelés les Ambaniandro (« ceux qui sont sous le soleil »), à cause de l’aridité de leurs terres.
Ils sont les descendants des Vazimba, arrivés probablement sur la côte Ouest de Madagascar en canoë à balancier (waka) au début de notre ère (autour de l'an zéro) - voire 350 ans avant selon les archéologues
Les nouveaux arrivants Merina apportèrent leurs capacités d'innovation et des techniques et savoir-faire qui permirent de mener de vastes projets d'irrigation. Grâce à l'assèchement des marais du plateau, et l’irrigation des terres arables, ils permirent de faire pousser du riz deux fois par an.
Au XIXe siècle, le pays Mérina s’ouvre aux influences européennes et étend son contrôle sur tout Madagascar. C’est ce royaume Mérina, agrandi, qui se voit ainsi promu et reconnu comme "royaume de Madagascar" par les puissances européennes au XIXe siècle, jusqu’au moment de l’établissement du pouvoir colonial à partir de 1896.
Ils ont conservé aujourd’hui un rôle dominant dans l’économie et la politique de Madagascar. Ils seraient environ 5 000 000, et forment le groupe ethnique le plus nombreux de l’île.
Socialement, Les Merinas se divisent en quatre castes principales, non sans rappeler les organisations sociales communes aux peuples austronésiens, voire même indo-européens : les Andriana, les Hova, les Mainty et les Andevo.
La division en castes aurait été créée par les ancêtres. Elle comprend la famille royale, appelée en malagasy « Andriana », les « Hova » qui sont les familles de la classe moyenne et les « Andevo » appelés aussi esclaves ou familles pauvres.
Les analyses géopolitiques se basent les études des interactions entre le politique et le territoire, les rivalités ou les tensions qui trouvent leur origine ou leur développement sur le territoire, l’analyse des rapports de forces entre divers acteurs sur un espace plus ou moins défini.
Exemple parmi d'autres : Le développement de la culture industrielle du thé en Asie a eu des conséquences importantes dans les relations géopolitiques mondiales
La géopolitique, se doit d'utiliser l'ensemble des connaissances liées à la géographie (géographie physique, mais aussi la géographie humaine dans toutes ses composantes sociales, économiques, culturelles, sanitaires, les matières premières et les flux de ressources), mais aussi utiliser l'histoire, la science politique, etc.
Processus sociaux, créé par opérations volontaristes.
Les religions, les langues, le patrimoine culturel sont des éléménts participants au développement humain.
Le Développement humain en économie est un facteur du développement des sociétés. L'Indice de développement humain (IDH) permet de l'évaluer
L'indice de développement humain (IDH) est un indice statistique composite, créé par le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) en 1990 pour évaluer le niveau de développement humain des pays du monde. L'IDH se fonde sur trois critères : le PNB par habitant, l'espérance de vie à la naissance et le niveau d'éducation.
jeune filles de l'ethnie des Bajo en Indonésie en période de Ramadan