La croissance Chinoise.
La croissance Chinoise est, en ce début de XXIieme siècle, la garantie de la stabilité politique du pays. Le choix d'appliquer les lois de l'économie de marché, en libéralisant les échanges, sont indispensables à l'amélioration du niveau de vie, gage de la stabilité sociale et conduit en premier à développer les infrastructures.
Les dirigeants Chinois ont tiré la leçon de la situation Russe, qui à la suite de la chute de l'URSS, qui en ayant favorisé d'abord les changements politiques avant ceux de l'économie, ont plongé la population dans une récession douloureuse.
La Chine s'est donc lancée à marche forcées dans de vastes chantiers de constructions de routes, de lignes de chemin de fer et de logements misant sur ces moyens indispensable au développement industriel et au développement du commerce en tentant de pas tomber dans les spéculations financières et la braderie des ressources comme ce fut le cas en Russie.
Les créations de zones de développement prioritaires, planifiés, se sont accompagnées de migration de populations campagnardes, rigoureusement contrôlées pour adapter l'énorme réservoir de main d'œuvre dont dispose la Chine aux besoins de l'économie.
Les gouvernants Chinois misent en priorité sur l'amélioration du niveau de vie de la population. Elle s'accompagne d'une sensibilisation aux enjeux environnementaux permettant de relever les défis posé par l'industrialisation effrénée. Les priorités portent donc sur la sécurisation des approvisionnement en matières première, l'éducation, la santé, et l'environnement. Pour préparer l'avenir et offrir des opportunités aux jeunes de plus en plus diplômés, la Chine commence à acquérir ou a se doter des meilleurs technologies.
Les deux principaux enjeux des gouvernants sont pour le moment;
de faire profiter à l'ensemble de la population, y compris des régions les plus reculées, de l'augmentation de niveau de vie constatée dans les zones de développement de la cote, et de contenir les écarts en riche et pauvre,
de combattre la corruption, ( contenir les groupes de pressions locaux ou nationaux: barons régionaux, conglomérats industriels, militaire... ) La perception par l'opinion publique en est de plus en plus mauvaise.
La libéralisation des droits citoyens commence a être entrevue comme une prochaine étape. Compte tenue de l'histoire et de la culture du pays, il est probable que la Chine invente un mode de vie politique qui lui sera propre et donc pas directement semblable a celle des démocratie occidentales.
Agglomération de familles vivant dans la même région, ou se déplaçant ensemble, ayant un système politique commun, des croyances religieuses et une langue communes, et tirant primitivement leur origine d'une même souche.
L'ethnologie (ou anthropologie sociale et culturelle) est une science humaine qui relève de l'anthropologie, et dont l'objet est l'étude explicative et comparative de l'ensemble des caractères sociaux et culturels des groupes humains « les plus manifestes comme les moins avouées »
Fondements et objectifs de l’ethnologie
L'ethnologie s'inscrit dans le vaste paysage des sciences humaines. Elle s’appuie sur des études ethnographiques que réalisent les anthropologues.
Cette science récente, moins de deux cents ans, a son origine dans les découvertes des peuples consécutives à l'expansion coloniale des pays occidentaux. Il en est sorti une connotation impérialiste de ségrégation des populations entre civilisée et primitives. Schématiquement, les activités de la sociologie au sens large se répartissent entre l’Ethnographie qui concerne les ethnies primitives et la sociologie qui concerne les peuples « dits » civilisés
À la fin du XXe siècle, cette approche dévalorisante a évolué vers une décomposition où l’Ethnographie (ou anthropologie sociale) concerne une analyse qualitative de l'observation des peuples sur le terrain et la Sociologie concerne l'analyse quantitative basée sur une étude statistique et globale des populations
Les principaux aspects sociaux étudiés au cours des recherches ethnographiques concernent les relations de parenté, le rôle des ancêtres, la connaissance des langues et de la linguistique associée, et l’identification des groupes ethniques.