L'Anhui est une province chinoise qui offre une combinaison de paysages naturels impressionnants, d'une riche histoire culturelle et d'une activité économique diversifiée. La province est à la fois un lieu de préservation de traditions anciennes et un centre de développement moderne.
L'Anhui est une province située dans l'est de la Chine, La capitale en est Hefei, qui est également le centre politique, économique et culturel de la province. (Environs 6 millions d’habitants)
L'Anhui présente une variété de paysages, comprenant des montagnes, des rivières et des plaines. Les montagnes Huangshan, célèbres pour leur beauté pittoresque, sont situées dans le sud de la province. Inscrites au patrimoine mondial de l'UNESCO, elles attirent de nombreux visiteurs en raison de leurs formations rocheuses spectaculaires, de leurs pins tortueux et de leurs nuages pittoresques.
Rivières importantes : L'Anhui est traversée par le fleuve Yangtsé, l'une des rivières les plus importantes de Chine.
L'Anhui est une région agricole importante en Chine, produisant du riz, du thé, du blé et d'autres cultures. Les rizières en terrasses de l'Anhui sont également connues pour leur beauté.
Culture : La province a une histoire culturelle riche, avec des influences importantes de la dynastie Ming et de la dynastie Qing. Des sites historiques, des temples anciens et des villages traditionnels témoignent de cette histoire. (Hongcun et Huqinglou )
L'Anhui est également un centre industriel. La province abrite des industries manufacturières, notamment dans les secteurs de l'acier, de la chimie, de l'automobile et de l'électronique.
Patrimoine : Des sites historiques notables comprennent le mont Jiuhua, l'un des quatre monts sacrés bouddhistes de Chine, et la vieille ville de Tunxi, connue pour son architecture traditionnelle.
L'anthropologie est la branche des sciences qui étudie l'être humain sous tous ses aspects, à la fois physiques (anatomiques, morphologiques et physiologiques, évolutifs) et culturels (socioreligieux, psychologiques, géographiques, etc.). Elle tend à définir l'humanité en faisant une synthèse des différentes sciences humaines et naturelles
L'anthropologie s'organise autour de deux grands types de travaux étroitement liés : d'une part, les travaux d’ethnographie, qui sont des enquêtes et observations de terrain (empiriques) concernant dans les détails et de façon isolée les peuples, cultures et sociétés humaines, et dont les résultats sont le plus souvent publiés sous la forme de monographies ; et d'autre part, les travaux d’ethnologie, dans lesquels sont étudié les peuples, cultures et sociétés humaines de façon comparée et sur la base de recherches (théoriques) au sein des publications ethnographiques, et dont les résultats sont le plus souvent publiés sous forme d'essais. (WiKi)
L’ethnographie est l’étape de collecte des données, l’ethnologie le stade des premières synthèses, l’anthropologie est la phase de généralisation théorique après comparaison
L’anthropologie et l'ethnologie s’assignent comme tâche de penser l’autre.
Le terme individualisme sert à désigner toute théorie, doctrine ou attitude qui consiste à privilégier les intérêts, les droits et les valeurs de l'individu par rapport à tous les groupes sociaux, que ce soit la famille, le clan, la corporation, la communauté, la société, etc. L'intérêt individuel est considéré comme supérieur à l'intérêt général.
Fruit d'une pensée, élaborée depuis la Renaissance, l'individualisme est un projet de société dans lequel chacun devrait trouver les meilleures conditions de sa réalisation et de son épanouissement.
En politique, l'individualisme accorde la primauté de l'individu, à l'initiative privée et souhaite réduire l'Etat au strict minimum (libéralisme, libertarianisme), voire à rien (individualisme anarchiste). Il s'oppose au nationalisme, à l'étatisme, au socialisme, au collectivisme, au communisme. Il peut aussi s'opposer à la démocratie si elle amène à prendre des décisions qui soient contraires aux intérêts individuels.
En sociologie, l'individualisme met en avant les droits et les responsabilités de l'individu, considérant que les institutions sociales n'existent que pour le bien de l'individu. Il s'oppose au conformisme, au panurgisme.