Les Akha (Hani pour les chinois) vivent majoritairement au sud du Yunnan, entre le fleuve rouge et le Mékong, mais des populations importantes ont migré au Nord du Laos, de La Thaïlande et un peu en Birmanie, dans l'état Shan.
L'ensemble des Akha compterait entre 1,7 et 2,5 millions d'individus dont 90% en Chine, en grande partie dans la « préfecture autonome Hani et Yi » de Honghe.
Les Akha (Hani pour les chinois) est un peuple d'asie du sud-est continentale. Il vivent majoritairement au sud du Yunnan (Chine), entre le fleuve rouge et le Mékong, mais des populations importantes ont migré au Nord du Laos, de La Thaïlande et un peu en Birmanie, dans l'état Shan. L'ensemble des Akha compterait entre 1,7 et 2,5 millions d'individus dont 90% en Chine, en partie dans la « préfect ...
La culture du riz pratiquée par les Hani, paysans du Yunnan, dans le sud-ouest de la Chine, a fait naître un paysage parmi les plus étonnants du monde.
La tradition orale attribue les origines des Akha, au delà la cinquantième génération, au peuple Yi. Ils sont donc de la lignée des tibéto-birman. C'est en effet a travers une récitation de leurs gén ...
La langue Akha fait partie du Groupe des langues Tibéto-birmane. Elle est proche de celle des Lolo et ne dispose pas d'une écriture. Une transcription de leur langue utilisant des caractères latins e ...
Animistes, les Akha respectent le dieu des rizières et vouent un culte fervent a leurs ancêtres. Les semailles et la récolte sont l'occasion de cérémonies pour rendre hommage aux dieux ou attirer leu ...
La base de leur activité et de leur subsistance est la culture du riz. Ils ont développé l'irrigation en terrasses au flan des vallées selon de remarquables travaux de façonnage des pentes. Parmi les ...
Les Akha, par leur sous développement et confinement dans les régions reculées du triangle d'or font l'objet de discrimination et d'exploitation de la part des différentes autorités des pays où ils v ...
Une minorité se définie dans un contexte, non de manière absolue. Elle peut être analysée par rapport à de la population d’une nation, d’une zone géographique, du point de vue des religions, des langues, de la culture ou de la race, de la couleur de peau, des liens de parenté…
L’appréciation en est variable selon le lieu et l’époque.
La supériorité du nombre est vue comme une hiérarchie, une supériorité de la majorité. Dans l’histoire il est peu d’exemple de minorités qui n’aient pas été marginalisées, persécutés, assimilés de force, voire physiquement éliminées.
La minorité ne l’est cependant pas toujours en nombre. Le colonisateur considéra souvent les indigènes comme des races inférieures.
La constitution des états nation moderne à souvent contribué à les révéler et à en aggraver le sort par rapport à la relative tolérance observée autrefois par les Empires. (Comme l’était les Ottomans ou les Austro-Hongrois par exemple)
La définition des minorités dépend des stratégies de la minorité elle-même, soit par son rôle géopolitique, économique, culturel. (Les juifs, les Arméniens,Touareg…)
Une minorité est aussi une catégorie sociale définie par discrimination : les homosexuels, les femmes, les gens du voyage.
Elle cherche à comprendre et à expliquer l'impact du social sur les représentations (façons de penser) et comportements (façons d'agir) humains. Ses objets de recherche sont très variés puisque les sociologues s'intéressent à la fois au travail, à la famille, aux médias, aux rapports de genre (hommes/femmes), aux religions, ethnicités, bref, à l'environnement humain.
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